Pendant que je lavais ma voiture un dimanche, le portier et moi Ă©tions occupĂ©s Ă parler ici et lĂ . Feyza nous a dĂ©passĂ©s en sortant de l’appartement. Venez au portier:
Pouvez-vous jeter un Ĺ“il Ă la fontaine de la cuisine, il y a des gouttes d’eau. Bien sĂ»r, je verrai, soeur Feyza. “Je serai lĂ dans 15 minutes”, a-t-elle dit. Et il nous a quittĂ©s comme s’il secouait ces dĂ©licieuses hanches.
Le portier Murat a dit que son frère avait de nouveau de la fièvre. Allez, tu as de la chance, quand tu plaisantes en disant qu’il va peut-ĂŞtre le donner, il le donne dĂ©jĂ mon frère. “Je baise 4-5 mails par jour de toute façon”, a-t-il dĂ©clarĂ©.
Ne tirez pas sur Murat.
Dois-je vous le prouver?
Tu dis vrai?
Oui mon frère. Écoute, tu vas chez moi maintenant, quand tu amènes Feyza et que tu la jettes dans sa chambre, tu sautes dedans aussi. J’ai fini mon travail immĂ©diatement, nous sommes allĂ©s Ă l’appartement du concierge. Attends, je reviens tout de suite avec Feyza.
J’attendais impatiemment. Au bout d’un moment, la porte s’ouvrit. Portier Murat:
Oh bĂ©bĂ©, il a dit que je mangerais ce cul et a giflĂ© le cul de Feyza. Il soupira et alla dans sa chambre. J’ai attendu un moment et je suis allĂ© Ă l’intĂ©rieur. Il a fait s’agenouiller Feyza et lui a mis la grosse bite dans la bouche et l’a fait tĂ©ter. Feyza m’a regardĂ© et a dit ooohhh, m’as-tu apportĂ© une autre bite, Murat? et sourit.
J’ai ouvert la fermeture Ă©clair et lui ai tendu la bite. Il s’est giflĂ© les joues et la langue et a commencĂ© Ă sucer et Ă lĂ©cher. Ses bites se sucaient avec appĂ©tit.
Oooohhh mettez-le dans ma bouche, mes hommes oohhh. Il disait: “Mes dĂ©licieuses bites, je vais manger tes couilles.”
Baise-moi fort et abusif.
Nous nous sommes dĂ©shabillĂ©s et avons jetĂ© Feyza sur le lit. Nous avons commencĂ© Ă passer l’aspirateur avec un sein et un chez le portier. Je lui caressais les jambes, nous passions l’aspirateur des seins de la taille de 100 dans ma bouche, la femme nous allaitait officiellement. Feyza gĂ©missait sous nous. J’ai merdĂ©, j’ai enterrĂ© ma tĂŞte, c’est de la chair pure. J’ai commencĂ© Ă lĂ©cher comme un fou. Ma bouche jaillissait de jus de plaisir. Je suçais son clitoris Ă©nergiquement. J’ai mis ma langue dans ta chatte, je dessinais des cercles dans ta chatte. Le portier mangeait les seins et les lèvres de Feyza.
Allez, l’un de vous me baise.
Je vais te baiser Feyza, Murat a dĂ©jĂ beaucoup baisĂ©. Laisse-moi d’abord goĂ»ter. J’ai frottĂ© un peu la tĂŞte de la bite, puis je l’ai enterrĂ©e comme un lop. Feyza faisait des oooohhhhs. Je poussais enfin sa chatte serrĂ©e, la femme de mes rĂŞves mangeait ma bite sous moi.
Tu aimes les abus, bébé?
Oui, j’aime fort.
VoilĂ ta bite, putain de salope. OĂą as-tu eu ces gros seins de salope? Je vais te baiser le cul, te baiser. Je pompais Feyza comme un fou. En le collant dans et hors de mes couilles. J’ai pris ses jambes sur mon Ă©paule et j’ai commencĂ© Ă les insĂ©rer plus profondĂ©ment. Le portier Murat l’a remis Ă la bouche de Feyza.
J’ai dit portons un toast Ă cette salope. Murat Ă©tait allongĂ© sur le dos, assis sur la bite de Feyza Murat, se penchant un peu en avant. Ces dĂ©licieuses hanches me rendaient folle. J’avais une bite courbĂ©e. Maintenant, je possĂ©dais le cul de Feyza. J’allais et venais en giflant le cul. Murat baisait Feyza du fond. Je me suis allongĂ© sur Feyza. Feyza, la veuve, portait un toast.
Oooohhh baisez-moi les gars, je serai votre esclave sexuelle. Ma chatte est Ă toi ooohh. Enracinez vos bites sur moi, Feyza gĂ©missait ooohhh mmmmm. Murat du fond, j’Ă©tais
pompage Ă pleine vitesse par l’arrière. Les gĂ©missements de Feyza sont devenus plus frĂ©quents. Tout Ă coup, il a commencĂ© Ă se dĂ©verser entre nous, hurlant et tremblant. Murat a vidĂ© la chatte de Feyza en faisant ses derniers coups et en criant. L’Ă©troitesse du cul de Feyza m’a provoquĂ©. Après quelques piqĂ»res, j’ai commencĂ© Ă gicler mon sperme dans le dĂ©licieux cul de Feyza.
Oooohh on te l’a mis dans le cul Feyza, tes trous sont insĂ©minĂ©s. Tu es notre pute maintenant, tu es notre pute.
Ooohh oui, je suis ta salope, putain, putain d’esclave.
Ce jour-lĂ , Murat et moi avons baisĂ© Feyza pendant des heures. Feyza me le donne maintenant quand je veux. Parfois, on baise Ă deux. La veuve n’en peut plus du trou du cul de Feyza.